Après Vaujany et Montpellier (en Coupe de France), il est temps que le match d'aujourd'hui contre Annecy soit annulé. Le calcul et l'observation sont simples avec ces trois reports: TBHC n'a toujours pas disputé de match officiel, alors que la compétition a repris depuis un mois. Pour Bélougas, le temps commence à être long, très long même selon l'entraîneur Eddy Martin: «C'est dur de garder les gars motivés, à cela s'ajoute notre camp d'entraînement, qui a été coupé pendant deux semaines et de nombreuses restrictions comme ne pas pouvoir utiliser les vestiaires. «Le Canadien ne cache pas sa consternation ni même son inquiétude. "On n'est dans rien, honnêtement on ne pense même pas au jeu qu'on veut juste pouvoir s'entraîner régulièrement", demande-t-il, faisant attention au retard que son groupe a accumulé. "Nous n'avons eu que dix jours d'entraînement pendant un mois et demi, donc la sécurité des joueurs est en péril, et puis on ne sait pas si la glace sera disponible dans les semaines à venir, on n'a pas de réponse", un entraîneur perd quelque chose d'ennuyé accumuler "des difficultés".

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Les obstacles s'accumulent et le temps passe vite. "Nous recherchons désespérément des solutions avec le directeur sportif Benoît Pourtanel et notre entraîneur physique. Nous essayons d'offrir des alternatives aux joueurs, mais c'est extrêmement compliqué et si nous devons jouer à nouveau dans une patinoire financièrement vide, ce serait une catastrophe." , glisse le Québécois dont les protégés ne font que reprendre la musculation. «Notre sport se déroule avant tout sur la glace, c'est bien de pousser la fonte, mais ça ne fait pas mieux au hockey», conclut désormais l'ex-attaquant sur le banc et ne sait pas vraiment quand Will TBHC rejouera enfin. Le lendemain contre Valence est déjà menacé.